Eric Bertinat – Un de mes amis, pas particulièrement croyant, de confession protestante, m’adresse des remarques très intéressantes sur la dernière encyclique du Pape François « Fratelli tutti » consacrée à « la fraternité et l’amitié sociale ».
Dans le premier chapitre, point 10, le Pape évoque les Pères fondateurs de l’UE… Or, me dit-il, Pères fondateurs est une expression américaine utilisée par ceux qui ont écrit la constitution américaine. Pour l’Europe, le principal Père fondateur est Jean Monnet, dont il est reconnu qu’il était l’homme des Américains, qu’il a agi sous leurs ordres et dont le texte de ses soi-disant mémoires a été rédigé par un groupe de rédacteurs payés par les USA. Le livre de Philippe de Villiers « J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu » explique tout cela, avec une centaines de documents le prouvant.
Quant au titre du troisième chapitre de l’encyclique Penser et gérer un monde ouvert, il reprend le nom de la fondation (et bien des idées…) de George Soros et sa Société ouverte. Dans son enquête sur Soros, Pierre-Antoire Plaquevent écrit que : Plus récemment, c’est le Pape François qui a réaffirmé son opposition à toute forme de restriction de l’immigration, cela au travers d’un plan en 21 points qui rappelle fort celui de George Soros ». Et plus loin : « Cet alignement du Pape en matière d’immigration peut surprendre mais elle étonne moins lorsque l’on étudie les infiltrations et les relais mis en place par l’Open Société Foundation au sein même de l’église catholique moderniste (page 174 du livre « Soros et la société ouverte : métapolitique du globalisme », publié en 2018, soit avant l’encyclique).
Et de noter en conclusion que dans le même livre sont évoqués, avec références, les fonds très importants alloués par l’Open Society lors de la visite du pape aux USA.